L’oïdium est un champignon de la famille des érysiphacées assez fréquent chez certains végétaux. Il se caractérise par l’apparition d’une sorte de moisissure ou d’un léger duvet blanc. Ce champignon est susceptible de toucher un grand nombre de plantes, légumes, arbres, arbustes et rosiers.
L’oïdium prolifère plus facilement par temps chaud associé à une forte humidité ambiante .
Il apparaît généralement au mois d’avril- mai lorsque les températures remontent et que l’humidité des mois de mars/avril est encore très présente.
On le retrouve également au début de l’automne, lorsque les nuits se rallongent et l’humidité stagne de nouveau.
Il est recommandé de traiter l’oïdium de manière préventive et curative.
Surtout s’il s’agit de légumes, choisissez de préférence les moyens de lutte biologiques :
Chaque espèce a sa propre forme d’oïdium : c’est à dire que celle qui touche la vigne ne touchera pas le rosier.
Arbres et arbustes les plus touchés par l’oïdium sont :
Le chêne, l’érable, le cognassier, le pommier, le poirier, le rosier, le pêcher, l’aubépine, le groseillier, ou encore la vigne.
Au potager, l’oïdium touche principalement :
Les radis, les poireaux, le maïs, le fraisier, la courgette, le cornichon, la carotte, l’aubergine, la betterave, l’endive, le concombre ou la pomme de terre.
Sur cette photo l’oïdium touchant la vigne et les raisins.
©AJCespedes, ©coulanges